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Ni téléphone, ni réveil, ni agenda électronique, ni pocket pc, ni palm, ni baladeur MP3, ni...rien !

mardi 28 mars 2006, par Dominique Dervieux.

La DNA a constaté que certains (rares) collègues n’appliquaient pas correctement les recommandations sur les appareils électroniques. Un petit rappel est nécessaire.

PAS DE TELEPHONE (OU N’IMPORTE QUEL MOYEN ELECTRONIQUE DE COMMUNICATION) DANS LA SALLE DE JEU, sauf si l’arbitre l’autorise.

Règle de la Fide :

12.2.b) Il est formellement interdit d’apporter des téléphones mobiles et autres moyens électroniques de communication non autorisés par l’arbitre dans la salle de jeu. Si le téléphone mobile d’un joueur sonne dans la salle de jeu pendant la partie, le joueur en question perd la partie. Le résultat de l’adversaire sera déterminé par l’arbitre.

Bien qu’on ne doive pas apporter ces appareils, il peut arriver que des joueurs distraits oublient cette règle.

Si le téléphone, ou n’importe quel appareil électronique de communication, d’un joueur sonne, il perd la partie

- La partie du joueur est en cours, sonnerie : Il perd la partie. C’est automatique, pas d’exception. Sauf cas exceptionnel, l’adversaire gagne la partie.

- Vibreur : Avertissement oral. Pas plus, sauf si la gêne est avérée (dérangement sonore des voisins).

- Parler au téléphone pendant une partie : Perte de la partie, sauf si l’arbitre a donné son autorisation préalable.

- Les personnes d’astreinte. Elles préviennent avant la ronde l’arbitre qu’elles risquent d’être appelées. Pas de sanction, l’arbitre peut garder le téléphone, qui doit être sur vibreur.

- La partie du joueur est terminée mais il est devenu spectateur. Exclusion de la salle (avertissement si la gêne est importante).

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